19 octobre 2004
Tiens, l'heure d'écrire...
C'est l'heure idoine.
L'heure où les bruits du jour s'effacent.
"Après minuit commence l'heure des vérités pernicieuses" disait Mimile le roumain.
C'est inexact. Elles étaient là tout le temps. Juste, on les entendait moins.
Tout comme le ventilateur du PC, un autre bruit discret de la nuit mensongère. Ou le cliquetis tour à tour incertain et servile de nos claviers.
C'est l'heure idoine parce que propice à l'écriture du passé immédiat: les sensations du jour fini sont à portée de phrase.
Surtout, les mots pour les décrire sont mélangés de frais, et prêts à s'assembler dans un désordre très charmeur de noctambules.
L'heure où les bruits du jour s'effacent.
"Après minuit commence l'heure des vérités pernicieuses" disait Mimile le roumain.
C'est inexact. Elles étaient là tout le temps. Juste, on les entendait moins.
Tout comme le ventilateur du PC, un autre bruit discret de la nuit mensongère. Ou le cliquetis tour à tour incertain et servile de nos claviers.
C'est l'heure idoine parce que propice à l'écriture du passé immédiat: les sensations du jour fini sont à portée de phrase.
Surtout, les mots pour les décrire sont mélangés de frais, et prêts à s'assembler dans un désordre très charmeur de noctambules.
Publicité
Commentaires
S
S
B
P